Il ne faut qu’une demi-heure de train pour relier les deux grandes gares – le train était assez plein. L’impression que Osaka donne est que c’est beaucoup plus une ville pour le business que Kyoto : la gare est entourée de grattes-ciels. La gare est très grande mais on arrive à s’en sortir grâce à l’aide non sollicitée d’un japonais traduit par une américaine de passage. On trouve l’hôtel (il fallait passer par le sous-terrain du métro car il y a des travaux derrière la gare) et on laisse nos bagages (car check-in à 3PM seulement). On prend des frappucino au matcha et on part au quartier Dotonbori, il y a un @cosme et une sorte de grand marché. Pendant que les filles sélectionnent les produits, un anglais me file une édition de Japan News.

Le marché est extrêmement long, et on s’arrête manger des sobas. Mais le soba de Myriam est froid et c’est pas très bon.

L’après-midi on va à l’aquarium, près du port. Ma carte Revolut est refusée pour l’entrée (6’900 JPY quand même), alors que j’ai la confirmation de la part de Revolut. La caissière me demande de payer avec une autre carte mais je me plains, alors ils font intervenir des autres personnes, et je lis pendant ce temps les instructions de Revolut : la transaction est « pending ». Je me laisse convaincre de payer avec une autre carte de crédit, on verra si comme indiqué par Revolut, le paiement ne sera pas demandé (délai de 7 jours). L’aquarium est original en ce sens que c’est des bassins très haut et on spirale en descendant autour.

On a acheté des parapluies transparents (~5 francs) car il pleuvait beaucoup, et on a mangé des sushis (deuxième fois depuis notre arrivée au Japon) à Osakako, ils étaient très bons mais on avait encore un peu faim alors on s’est payé des patisseries à la gare de Osaka (où j’ai failli oublier mon parapluie).